Electroculture - Justin Christofleau contre le trust des engrais chimiques.

Voici un article issue du journal Humanité du 27 novembre 1926.
Cette problématique est toujours d'actualité.

Il titre : "Le tribunal de Versailles reconnaîtra-t-il la valeur de l'électroculture?"

L'ingénieur Christofleau demande à la justice de protéger son procédé contre le trust des engrais chimiques

Cet article est une belle illustration des difficultés que rencontre toute innovation qui serait une alternative sérieuse à l'usage des engrais chimiques ou de l'agriculture conventionnel. Ces innovations comme ici es applications d'électroculture par exemple sont systématiquement dénigrées, censurées, ignorées, persécutées, par le trust des engrais chimiques et leur vassaux médiatiques et politiques.

Justin Christofleau ne fait pas le poids à lui seul et fait face à ce rouleau compresseur qui aura réussi à faire oublier l'électroculture durant des décennies. Le mot électroculture a même été retiré des dictionnaires et encyclopédies depuis ces années 20. Justin Christofleau est dans ce sens un héros dans l'agriculture pour avoir persévéré dans l'adversité suivant ses convictions.

On peut espérer que dans la ligne du temps, la vérité et le bon sens ressurgit, ainsi heureusement quelques passionnés d'électroculture comme moi, Yannick Van Doorne, mais aussi quelques autres comme Philip Forer, Roland Wehrlen, pour ne citer que quelques habitants en France, ont fait revivre l'électroculture ces dernières années en démontrant ces bienfaits et en le sortant ainsi de l'oubli.

N'attendons pas qu'un voisin ou les organismes de recherches officielles s'y intéressent et nous informent, car on pourrait attendre une éternité.
Si on souhaite bénéficier des bienfaits de l'électroculture, on le fait tout simplement. C'est facile, simple, bon marché et efficace !

Aujourd'hui on retrouve le même genre de problématique des lobbys et des lois liberticides fait sur mesure pour les servir avec par exemple les lois sur les semences, pesticides et engrais chimiques. Généralement ces lois, normes et règles  empêchent les petites entreprises, agriculteurs et agronomes qui diffusent des semences fertiles d'origine naturelles, ou les enseignant de techniques naturelles d'agriculture de faire leur travail sans ennuis.
La pollution est légale, le naturel en devient illégal, un système morbide qui marche sur la tête.
Tous ensemble, on a la mission de renverser la vapeur, de démontrer qu'il y a des solutions alternatives, ne serait-ce que pour notre propre potager, pour une nourriture saine et nos générations futures.

A gauche : Publicité sur les appareils d'électroculture de Justin Christofleau dans le journal républicain "l'Echo d'Alger" du 31 janvier 1922.

L'electro magnétique ferro céleste.

Fabriquer soi-même une antenne simple d'électroculture, type paratonnerre :
Plus simplement on peut fabriquer un système dit type "paratonerre" avec des fils de fer galvanisés. Cela suffit pour obtenir des résultats importants dans un jardin potager. Pour cela on fabrique une perche en bois par exemple de minimum 2 m de haut, cependant cela fonctionnera encore mieux si on le fait beaucoup plus haut à par exemple 6 m 25 comme le faisait Christofleau. Au plus haut, au plus d’efficacité. Au bout de la perche on fixe une dizaine, voire plus, de morceaux de fil de fer galvanisé de 1,5 à 2,5 mm de diamètre et d'environ 10 à 15 cm de long. On les étend en éventail comme un balai ou un paratonnerre. On relie ensuite ce balai de fil avec un fil de fer galvanisé vers la base de la perche dans le sol. Ainsi on relié le balai "paratonnerre" à la terre ou il pourra faire son travail. Une tel antenne a une efficacité sur un diamètre environ égale à la hauteur de la perche. Une tel antenne stimule les échanges d'effluves électriques entre le ciel et la terre et vice versa. Ces effluves sont chargé d'énergies subtiles portée par le courant d'électricité. A la place d'une perche en bois, on peut aussi faire la perche en un fer à béton de diamètre 10, 12 ou 14 mm, ainsi le fer à béton fait office de conducteur. L'inconvénient du fer à béton est qu'il rouille et que cela réduit l'efficacité avec le temps au fil des années, contrairement au fer galvanisé qui en est protégé.
On trouve du fil de fer galvanisé dans presque tout bon magasin de bricolage ou de matériel agricole ou de jardinage.

Bonne expérimentation !

Yannick Van Doorne