Dans le domaine de l'électroculture Fritz Popp et Phil Callahan ont découvert que des basaltes paramagnétiques émettent beaucoup de biophotons dans le sol, de plus elles multiplient fois 100 l'émission de biophotons quand mélangé au compost.
Les cellules vivantes communiquent entre eux aussi par biophotons comme découvert par le chercheur Professeur Fritz A. Popp.
Dans le domaine de l'électroculture Fritz Popp et Phil Callahan ont découvert que des basaltes paramagnétiques émettent beaucoup de biophotons dans le sol, de plus elles multiplient fois 100 l'émission de biophotons quand mélangé au compost.
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Ses aubergines par exemple, accrochées sur un pied qui atteint aujourd’hui 2 mètres de hauteur. « Une aubergine, c’est en moyenne un fruit de 200 à 250 grammes en moyenne qui pousse sur des pieds de 50 cm à 1,20 m. Chez moi c’est différent, les pieds mesurent près du double, quant aux fruits, le résultat vous l’avez devant les yeux : 30 cm de long pour un poids d’un 1 kg ». L’électro-agriculture façon Gilles FraysseGilles Fraysse,
unique producteur pratiquant l'électro agriculture à Moorea, dévoile quelques-uns de ses fruits récoltés. Les aubergines d’un kilo pièce de Gilles, produit de son électro agriculture. (photo JRey) Par Correspondant La Dépêche de Tahiti Publié le 21 Oct 21 à 8:26 La Dépêche de Tahiti « J’ai mes premières récoltes phénoménales. Il faut passer les voir .. ! » Gilles Fraysse, un agriculteur rencontré il y a un peu plus d’un an, souhaite aujourd’hui nous faire part des résultats de son fa’a’apu qu’il a aménagé chez lui, sur les hauteurs de la vallée de Paraoro à Paopao. Ses aubergines par exemple, accrochées sur un pied qui atteint aujourd’hui 2 mètres de hauteur. « Une aubergine, c’est en moyenne un fruit de 200 à 250 grammes en moyenne qui pousse sur des pieds de 50 cm à 1,20 m. Chez moi c’est différent, les pieds mesurent près du double, quant aux fruits, le résultat vous l’avez devant les yeux : 30 cm de long pour un poids d’un 1 kg ». Et bien sûr, ce n’est pas tout. Chez Gilles tout ce qui peut exister sur le marché local, on le trouve dans son jardin, du maraîcher tels que des tomates, concombres, choux, aubergines, poivrons, courgettes, maïs, les fruits habituels de nos vallées. Mais aussi des récoltes non habituels tels que les fraises, les tournesols, une belle variété de plantes aromatiques, menthe, basilic, coriandre, les piments d’Espelette, persil, aneth etc. Cette plantation lancée il y a un peu plus de trois ans, réaménagée au cours des mois pour une meilleure productivité, est arrivée aujourd’hui à un stade de rendement intéressant. Alors, les grincheux diront, « oui, bien sûr, mais ce n’est pas nouveaux de trouver des fruits phénoménaux dans nos jardins », ce qui n’est pas faux, (on trouve même des ananas à huit voire dix têtes.) mais Gilles rappellera qu’il n’utilise jamais d’engrais, chimique ou naturel. Juste un peu de terreau fait maison pour développer les semis. Son secret ? En plus d’une bonne terre à la base et une bonne exposition, c’est la pratique de l’électro agriculture. Un procédé depuis longtemps démontré inoffensif et en même très productif, dont le principe consiste à capter les ondes magnétiques qui se trouvent tout autour de nous à l’aide d’un petit récepteur (ou antenne), matérialisé par une couronne ou spirale de fil de cuivre que l’on met en contact avec la terre de son potager. « Les ondes électromagnétiques apportent à la terre et à la plante toute l’énergie nécessaire pour se développer. L’intérêt principal est qu’il n’est plus besoin d’engrais pour avoir chez soi des bons produits de la terre à consommer à l’état naturel, sans aucun additif chimique ou naturel, si ce n’est que ces ondes électromagnétiques », explique Gilles l’électro agriculteur. Si le procédé n’a pas encore conquis beaucoup d’agriculteurs à Moorea, ses produits sont à l’inverse, régulièrement demandés lorsque Gilles expose près d’une grande surface de Paopao, ou lors des salons mensuels du comité du tourisme. La clientèle s’intéresse soit, au produit près à être consommé soit, lorsqu’il est toujours en pot pour être transplanté dans un fa’a’apu familiale, avec ou sans instruction à l’électro agriculture. Au choix ! Fort de ces résultats, Gilles Fraysse a décidé d’étendre son fa’a’apu en utilisant une parcelle de foncier de son frère qui réside dans le secteur. Son objectif initial était d’ouvrir au public une ferme pilote et montrer comment obtenir de belles productions de manière entièrement naturelle, sans additif. La Direction de l’agriculture avait soutenu le projet, mais Gilles n’a pas eu l’Icra espéré (Insertion par la création ou la reprise d’activité) qui l’aurait aidé à monter son projet. L’agriculteur ne désespère pas pour autant pour réaliser sa ferme pilote, mais cela prendra un peu plus de temps que prévu. https://actu.fr/polynesie-francaise/moorea-maiao_98729/l-electro-agriculture-facon-gilles-fraysse_45880633.html?fbclid=IwAR2wwbfRPHlbXl6RdmGFLXAqLAjmMHj4dSmNNwZfSGD45vJjfN-ivdVTp8k Séance Questions Réponses Différence de récolte sur du maïs avec électroculture comparé au témoin, du simple au double, quasi +100% de récolte en plus. Observation d'un champ de maïs juste a coté du potager de Raphaël Doll qui rayonne l'influence des tours rondes et antennes atmosphériques sur le champ sur quelques dizaines de mètres. Chaque année on observe une pousse nettement supérieure dans le champ limitrophe a son potager que 50 m plus loin, ceci sur les céréales et maïs. Comparant 2 plants témoin à 2 plants traités, les plus grandes feuilles font 12cm de large comparé à 9 cm chez le témoin. Récolte 2 épis témoin total de 540 g, un.épi par plant au témoin, comparé a 4 épis, ou 2 épis par plant en zone électrocultivée, total 1,02 kg. Cela fait quasi le double de récolte ! Video : Témoignage dans le jardin chez Yannick VD à Ranrupt, 550 m d'altitude, Vosges, Alsace
Il y a plusieurs techniques qui permettent ensemble (pour encore plus d'effets) ou séparément d'augmenter fortement la résistance au froid et aux gelées printanières des plantes. Ce mois d'avril on a pu observer de nombreux effets remarquables parmi les electrocultivateurs. par exemple : Des plants de tournesols et semis qui ont résister à plusieurs nuits de gel, Des plants de tomates qui ont résister à 3 nuits de gelées dans un tunnel, pendant que un même tunnel à coté sans electroculture a vu tout ses plants de tomates morts grillé à cause du gel des pommiers et poiriers en pleine fleur subissant plusieurs nuits de gelées sans aucun dégâts, Des vignes aussi sans aucun dégât de gel ou seulement un tout petit peu sur les feuilles sans affecter la fleur, sur les nouvelles pousses, c'était très impressionnant. Quels techniques : Pour la vigne : Les cônes paramagnétique Van Doorne à fil relié au fil de palissage Pour les tomates : les antennes magnétiques enterrés et les tours rondes paramagnétiques Pour les pommiers : Les circuits Lakhovsky Van Doorne et basalte paramagnétique. Toutes ces techniques augmentent fortement l'énergie vitale de la plante, ce qui les rend bien plus résistants et pleine de vie, augmente leur vigueur et résistance face aux stress et agressions en général. Il y a aussi l'émetteur sonic qui émet des fréquences qui activent le mouvement intracellulaire et ainsi la résistance mécanique au gel, ceci fonctionne bien sur des dizaines de mètres autour des émetteurs, applicable en plein champ, vignes et vergers. Il peut être équipé d'une horloge et thermostat pour s'activer les nuits en cas de besoin selon le risque de gelées. Toutes ces techniques sont très innovantes et ont fait leur preuves dans nos jardins et chez les agriculteurs électrocultivateurs en toute discrétion. Je conseille aux agriculteurs de tester sur quelques parcelles ou rangs de vignes, vous verrez les résultats et regretterez de ne pas avoir appliquer sur tout quand vous verrez les effets ! Pour plus d'informations ou conseils, contactez Yannick Van Doorne et visitez ce site. Bonne saison d'électroculture, Yannick Van Doorne ![]() Un grand merci à la passionné d'électroculture, Marie Christine Claise, ancienne participante au stage qui s'est dévoué à la traduction de ce livre pour pouvoir le partager à nous tous en Français (faite en 2019). Pierre Luigi Ighina est le grand spécialiste des énergies des spirales. Comme ancien collaborateur de Marconi il a développé ses propres compréhensions du fonctionnement du vivant, de la vie sur terre. Puis il a développé et mis au point des systèmes opérationnels qui peuvent aider grandement notre société à avancer vers des techniques plus harmonieuses et saines. En agriculture ces connaissances sont primordiales pour mieux comprendre le fonctionnement des énergies du cosmos, de la terre, de la fertilité. Ensuite sachant cela on peut améliorer grandement la fertilité, croissance et santé des plantes avec des systèmes de spirales et autres. Les effets sont rapides et impressionnants. Après la prise de connaissance des découvertes de Pier Luigi Ighina on ne voit plus la nature de la même façon, on comprend mieux les intéractions énergétiques et les fonctions des spirales dans la nature, comme celle de l'escargot. En un mot, c'est fascinant ! ![]()
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Direct Electroculture du 19 décembre 2020 Electro-Lecture
Retour aux sources article de 1893 sur les recherches scientifiques de l'antenne du frère Paulin. Antenne atmosphérique Antenne type paratonnerre Article de 1893, dans le magazine "L 'Illustration". Résultats d'essais scientifiques de l'électroculture avec les antennes du frère Paulin. Dès à présent vous trouvez toutes les vidéos youtube en double sur odysee. Je vous conseille de regarder les vidéos sur odysee pour donner des chances aux concurrents à youtube et y réduire la censure. ![]() Ce 29 septembre 2020 on parle de l'électroculture sur la première page du journal "La Dépêche de Tahiti". Un grand merci à notre ami Gilles Fraysse, passionné d'électroculture à Moorea à Tahiti qui porte un projet de ferme de cultures de légumes d'une grande vitalité avec l'aide des connaissances et techniques d'électroculture. Il fait de nombreuses expériences avec les fils de fer galvanisés relié aux antennes magnétiques cylindriques, inventé par Yannick Van Doorne, mais aussi avec les pyramides en cuivre, les circuits Lakhovsky, les antennes type atmosphériques, spirales, basalt paramagnétique. Ces résultats sont remarquables. Depuis quelques années de nombreux passionnés de jardinage et d'agriculture se sont mis à expérimenter les techniques d'électroculture en Polynésie Française, à Tahiti et même jusqu'aux Iles Marquises ou Maeva est venu pour son premier grand voyage faire un stage d'électroculture chez Yannick Van Doorne en Alsace sur le continent. Elle y porte aussi un projet de création de vergers et ferme aux Iles Marquises. D'autres en Polynésie font déjà de la vanille avec des techniques d'électroculture. Il y a une grande ouverture d'esprit pour le développement de nouvelles techniques alternatives comme l'électroculture en Polynésie. Bravo à vous tous. Merci beaucoup, pour le bien-être de la terre, Yannick Van Doorne Voici le lien de l'article sur la page du journal : "Gilles Fraysse de lance dans l'électroculture" Direct Electroculture zoom du 23 mai 2020 par Yannick Van Doorne
Contenu indicatif : Survol des témoignages du groupe de la semaine Carottes qui poussent à une vitesse fulgurante dans la serre de Richard H. Nouvelle technique tube cuivre et basalte Asperge de 2 m de haut dans le jardin d'Andrea Basilique en avance avec circuit Lakhovsky Comment installer une antenne magnétique relié au fil de fer galvanisé Feuille de pissenlit géante de 54 cm de long dans le jardin de Yannick Van Doorne Menthe en pleine croissance de 67 cm au 24 mai. ( devenu 1m80 il y a quelques années) Nouvelle antenne atmosphérique type paratonerre avec des double spirales en cuivre Comment faire et utiliser un circuit Lakhovsky Solution répulsif limace à base de laurier palmatum Visite à l'institut Vavilov à Saint-Petersbourg en Russie. Les graines exceptionnelles récupérées en électroculture, tournesol, betterave, cote de bette Découverte du document "annales des recherches agronomiques sur l'électroculture", de l'école d'agriculture de Beauvais (aujourd'hui ISAB), de 1894 |
AuteurYannick Van Doorne, de formation ingénieur agronome (spécialisation en agriculture tropicale, biotechnologie). Explorateur de techniques alternatives, expérimentateur, conférencier, enseignant lors des stages, conseiller agronomique et chercheur en electroculture depuis l'année 2000. Inscrivez vous à la lettre d'information sur l'électroculture ci-dessous :
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Février 2022
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